Le Shiatsu
Art du toucher d’origine japonaise basé sur les principes de la Médecine Traditionnelle Chinoise, le shiatsu est une discipline holistique énergétique qui stimule nos ressources profondes (le ki : énergie vitale).
Par une technique de pressions manuelles ATSU (pression) SHI (des doigts) le long des méridiens (vaisseaux subtils dans lesquels circule le KI), de mobilisations douces et d’étirements, le Shiatsu permet de ré-harmoniser l’équilibre énergétique de la personne.
Le shiatsu se reçoit habillé d’une tenue souple, confortablement allongé sur un futon. La séance commence toujours par un échange sur vos besoins ainsi qu’un petit questionnaire. Chaque séance est unique !
L’approche Iokaï
Shizuto Masunaga senseï fonde l’école Iokaï de shiatsu à Tokyo en 1960, après s’être longuement attaché à comprendre l’origine de la maladie et de la souffrance humaine. Il nomme cette nouvelle approche à partir de l’enseignement des sutras consacrés au « Bouddha de médecine ». En effet, dans ces sutras, io désigne le « roi de la médecine » et kaï retranscrit l’idée d’association, de motivation commune.
En Europe, c’est Kazunori Sasaki senseï qui, issu de cette lignée, crée l’European Iokaï Shiatsu Association (EISA ou AISE).
Les bienfaits du Shiatsu
Il agit sur un spectre très large, en commençant par le stress, les angoisses, les problèmes de sommeils mais également sur des dysfonctionnements organiques comme les soucis digestifs et intestinaux, les divers maux du cycle menstruel, les douleurs de dos ou articulaires, les maux de tête…
Son action ne vise pas à faire disparaître les symptômes mais à en découvrir l’origine afin de comprendre le message que le corps veut nous faire passer. Les séances peuvent être accompagnées de conseils sur l’alimentation ou activité en rapport avec les besoins exprimés.
Le Shiatsu ne se substitue pas à la médecine conventionnelle, mais peut se présenter plutôt comme un complément. Il ne dispense pas d’un avis médical, sa pratique pouvant être contre-indiquée dans certaines situations.
